Réunion du 13 septembre 2016
15.09.16

Compte-rendu de la réunion du 13 septembre (17h-19h) Association des doctorant.e.s d’ALL de l’UJM

Présent.e.s : Jordi Ballesta, Kévin Boudot, Anne-Céline Callens, Ariane Carmignac, Véronique Dumas, Nadège Landon, Vincent Lecomte, Clément Paradis.

  1. Présentation du projet et rappel de notre démarche :


C’est du constat d’un manque de communication et de partage entre les différent.e.s doctorant.e.s de l’UJM que l’idée d’une association de doctorant.e.s d’ALL a vu le jour. Notre projet, depuis le début de l’année 2016, avance donc dans le but de donner des temps d’échange aux différent.e.s doctorant.e.s intéressé.e.s et de proposer des moments de discussion et de travail entre nous.

  1. Création de l’association :


Le nom de l’association, soumis au vote à l’ensemble des doctorant.e.s d’ALL, a donc été choisi : Alt.516.
La création de l’association est en train d’être finalisée : elle sera enregistrée auprès de la préfecture la semaine prochaine au plus tard.
Les statuts pourront être consultés par tous.
Un bureau provisoire, composé de Lorène Ceccon, Nadège Landon et Clément Paradis, se charge de la mise en route de l’association. Cependant, dès la prochaine réunion, un vote sera organisé pour élire les membres du bureau.
Il est déjà possible d’adhérer à l’association, pour une cotisation annuelle de 10 euros. Des cartes de membres seront imprimées très rapidement.

  1. Organisation de l’association :

Des débats ont eu lieu concernant l’organisation de l’association. Il a donc été convenu que l’association fonctionnerait davantage comme un réseau, qui ménagerait bien entendu des espaces et des moments de communication et d’échanges ponctuels. L’association veut donc s’inscrire dans une démarche englobant plusieurs temps, plusieurs espaces et plusieurs objets à la fois, pour intéresser le plus de personnes possibles.
Voici les projets et les actions que nous mettrons en place :

  • Un axe de recherche bi-annuel. Il conviendra de discuter de cette thématique, puis de l’affiner et de développer des problématiques lors de tables-rondes (2 ou 3) pendant l’hiver. Il s’agit de trouver un axe de recherche qui puisse s’insérer dans ceux de nos trois laboratoires respectifs (CELEC, CIEREC, IHRIM) et qui puisse correspondre à nos propres objets de recherche. La transdisciplinarité est donc de rigueur. Une journée d’étude ou un séminaire interne sur cette thématique pourra être organisé au printemps de la première année. Tout.e doctorant.e intéressé.e pourra présenter une communication.
La deuxième année sera l’occasion d’organiser un colloque sur ce thème: il conviendra donc de choisir un comité d’organisation et un comité scientifique, de créer un appel à communication pendant le début de l’année.

Des idées d’axe de recherches ont déjà émergées ; voici la liste non exhaustive : « Langue » / langage / expression » ; « Images » ; « Minorité. Majorité. Dialogue » ; « Temps/espace/objet ».

  • Des réunions ponctuelles, organisées selon la demande :
    • Une communication gratuite proposée par un membre, pour s’entraîner avant une échéance, faire partager l’avancée de ses recherches, discuter de problèmes. Elles pourront être appelées : « communication blanche », « galop d’essai », « générale ».
    • Un échange autour d’un problème méthodologique ou administratif que rencontre un certain nombre d’entre nous : elles pourront être menées par un.e ou des membres de l’association, des ancien.ne.s doctorant.e.s, des maîtres ou maîtresses de conférence ou professeur.e.s d’université qui voudraient bien nous aider.
  • Un forum. Différentes rubriques pourront être mises en place :
    • Discussions autour des thématiques et des questionnements sur le futur axe de recherche.
 Il permettra de travailler, régulièrement, ensemble, sur notre projet. Les personnes qui ne peuvent pas se déplacer régulièrement à Saint-Etienne pourront ainsi s’engager plus facilement dans ce projet commun.
    • FAQ ; questions/réponses ; entraide : les problèmes administratifs ou méthodologiques pourront être présentés et celle ou celui qui aurait des réponses à apporter pourrait le faire, sans attendre une réunion.
  • Un blog. Vitrine des travaux personnels des membres : nous nous proposons de définir un comité scientifique le plus large possible pour englober les différents axes de recherche. Celui-ci veillerait à la pertinence scientifique des articles postés. Il rafraîchirait la page une fois par mois.
  • Une Newsletter. Plutôt que d’envoyer des mails à l’ensemble des doctorant.e.s, une newsletter serait plus attractive et serait lue par celles et ceux qui le désirent.